Catégories : Hommes fessés
il y a 6 ans
J’étais alors au collège en classe de troisième et chaque mercredi après les cours, je me rendais chez mes grands-parents, dans une grande maison, le rez-de-chaussée occupé par ses propriétaires, puis le premier étage par mes grands parents et le second se partageant entre un studio où logeait Josette, une jeune et jolie voisine et une petite pièce me servant de chambre durant ces vacances.
Josette, coiffeuse de son métier, était célibataire et âgée 25 ans environ. Chaque fois que je me trouvais en même temps qu’elle dans l’escalier, je la laissais prendre un peu d’avance pour jeter un coup d’œil sous sa jupe courte, car en ce début des années 70, la jeune femme portait encore des bas au lieu de collants.
Un mercredi enfin de journée, en l’absence de mes grands parents, revenant d’une séance de sport je me retrouvais encore une fois de plus derrière Josette dans l’escalier. Ce jour-là, elle portait une jupe si courte que, placé trois ou quatre marches plus bas, j’avais une superbe vue sur ses jambes gainées de bas nylon gris dont j’apercevais même la lisière. Ne voulant rien perdre de l’affriolant spectacle, je la suivis jusqu’au second étage, mes yeux rivés sur le mouvement des ses cuisses. Arrivant sur notre palier, Josette se retourna soudain et me regarda sans sourire, les bras croisés sur sa poitrine.
Surpris, je la saluai, mais sans répondre à mon bonjour, juchée sur ses escarpins à talons hauts, elle m’interpella :
« Crois-tu que je n’ai pas remarqué ton petit manège depuis le temps que tu montes les escaliers derrière moi ? Entre chez moi , j’ai deux mots à te dire ! »
Rougissant, je gravis la dernière marche et lorsque je parvins à son niveau, Josette me saisit par un poignet et me tira à l’intérieur de la pièce principale. Là, sans lâcher prise, elle s’assit sur une chaise et m’attira à elle contre ses cuisses. Sans comprendre ce qu’elle voulait faire de moi, je me mis à rougir davantage car ca jupe retroussée très haut découvrait largement les lisières de ses bas. Me scrutant d’un regard sévère, Josette annonça :
« Je crois que tu n’as jamais autant vu mes cuisses qu’aujourd’hui Et comme tu en as largement profité, c’est à ton tour maintenant de me montrer les tiennes ! Ce n’est que justice ! »
Tout en me tenant par les hanches, la jeune femme se mit à déboutonner mon short qu’elle baissa à demi, puis elle me fit basculer en travers de ses cuisses.
Je me retrouvai soudain, mon ventre nu plaqué contre le nylon de ses bas, mes jambes suspendu dans le vide, mes mains à plat sur le parquet. Dans la position où je me trouvais, j’aurais pu tout à loisir apercevoir les jarretelles de ses bas, mais Josette me ramena brusquement à la réalité en saisissant l’élastique de mon slip. En un clin d’œil, elle m’avait complètement déculotté, short et slip baissés jusqu’aux chevilles, mettant mes fesses à nu malgré mes vigoureuses protestations. Dès lors, je n’eus aucun doute sur les intentions de la jeune femme. Malgré mon âge, j’allais recevoir une fessée de sa main, ce qu’elle me confirma aussitôt :
« Tu n’en as peut-être plus l’âge, mais je vais quand même te donner une bonne fessée qui va te faire passer l’envie de regarder sous mes jupes ! »
Elle posa un court instant sa main droite, qui était fraîche sur ma fesse droite, comme pour en mesurer la surface ; par réflexe, je serrais les fesses. Puis, sa main se détacha de ma fesse et elle commença à me fesser sur un rythme si soutenu et si ferme, que je sentais mes fesses tressauter sous la paume de sa main qui claquait à toute allure une fesse après l’autre, sans prendre le temps d’une pause. Surpris par une telle avalanche de claques qui enflammaient rapidement mes rondeurs, je serrais les dents et les fesses pour mieux résister à la cuisson et ne rien laisser paraître de la douleur que cela causait.
Après une première rapide série de claques, Josette s’arrêta brusquement. Soulagé, et pensant qu’elle avait assouvi sa vengeance, je voulus me masser les fesses les deux mains. Mais elle m’en empêcha. Saisissant mes deux poignets, elle les rabattit et les maintint au creux de mes reins en me morigénant.
« Dis donc jeune homme, je n’ai pas fini ! Maintenant que je t’ai bien échauffé les fesses et que je sais comment elles se comportent, je vais vraiment te fesser comme tu le mérites vu ta conduite et crois-moi, j’ai très envie que tu la sentes bien pour ne pas l’oublier cette fessée ! »
J’essayais de lutter en battant des jambes, ce à quoi Josette répliqua :
« Ah tu veux te débattre ! c’est ce qu’on va voir ! »
Tout en maintenant d’une main mes poignets, de sa main libre elle repoussas short et slip jusque vers mes chevilles et m’obligea à m’en débarrasser complètement. Affolé, je me rendis compte que j’étais nu de la taille aux pieds, mes fesses nues entièrement à sa merci. Les claques se mirent à retomber rapidement et à grands bruits, tantôt d’une fesse à l’autre, tantôt plusieurs fois sur la même avant de repasser sur sa jumelle.
Mes fesses devenait de plus en plus douloureuses et la cuisson bientôt insupportable me faisait pousser des cris en continuité. Parfois Josette elle s’arrêtait quelques secondes, comme pour contempler son ouvrage, me laissant espérer la fin de mon supplice, mais elle recommençait à me fesser sur le même tempo et les mêmes variantes, transformant mes fesses en un véritable brasier.
J’avais beau remuer mes jambes, tenter de décoller mon ventre nu de ses cuisses chaudes, je ne pouvais plus contrôler les contractions de mes fesses dont la fente se serrait et se desserrait sous l’impact douloureux de chaque nouvelle claque. Des larmes embuaient mes yeux, avant qu’entre mes « aïe » ou« ouille » et « pardon Mademoiselle», je me mette à s a n g loter et à supplier tant je me sentais humilié de recevoir une telle fessée comme un petit garçon de la main d’une jolie jeune femme juste plus âgée que moi d’une dizaine d’années, mais qui se révélait être une fesseuse hors pair ! Mes fesses embrasées étaient en train d’en témoigner !
Au bout de longues minutes et plusieurs douzaines de paires de claques , Josette décida de mettre fin à ma fessée, laissant reposer sa main probablement aussi bouillante qu’elle l’une de mes fesses. Affalé sur ses cuisses je continuais à s a n g loter laissant couler mes larmes de douleur et de honte.
Puis Josette me fit relever et, prostré à genoux à côté de ses cuisses, je ne pus enfin frictionner librement à deux mains mes fesses endolories.
Enfin, saisissant mon menton, elle m’obligea à la regarder dans les yeux et m’ordonna avec sévérité :
« Allez, file au coin, mains sur la tête ! Et ne remets pas ton short ! »
Je restais ainsi de longues minutes au coin, pleurnichant et penaud, avant qu’elle ne me dise :
« Maintenant, tu peux te reculotter, mais que je ne t’y reprenne plus car la prochaine fois, ce sera pire ! Je t’emmènerai en te tenant par l’oreille à mon salon de coiffure et devant mes collègue set les clientes, je te déculotterai et te coucherai sur mes genoux pour te fesser derrière nu devant tout le monde ! Et je suis sûre que quand mes copines sauront pourquoi à 15 ans je te fesse comme un gamin, elles seront prêtes à me relayer quand j’aurai fini avec toi ! »
Je m’empressai de me rhabiller et Josette m’accompagna jusqu’à la porte, rajoutant même une petite tape sur le fond du short pour que je sorte plus vite.
Je me précipitai dans ma chambre où, après avoir rafraîchi mon visage à l’eau froide, j’ôtai short et slip et je me jetai à plat ventre sur mon lit, attendant que la douleur de mes fesses écarlates et brûlantes s’apaise sous la serviette mouillée dont je les avais enveloppées.
Avec le temps, je crois que cette fessée fut la plus belle que je reçue de toute ma jeunesse. Bien entendu, je fis tout pour écarter la tentation de regarder sous la jupe de Josette quand je la rencontrais, et surtout pour lui cacher les rougeurs de mon visage chaque fois que je croisais son regard chargé d’ironie.
Alain C…
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